« Punk Is Not Dead : Une histoire de la scène punk en France » : entretien avec Luc Robène

21 Juin

Le 26 Mai dernier, l’Amicale Laïque de Bacalan, association de quartier bordelaise, réunissait pour son festival « Rock Is Bac » plusieurs groupes et artistes parmi lesquels Pigalle, Strychnine ou encore King Kong Blues et Blues-O-Matic Experience. L’évènement qui se tenait en plein air dû hélas être annulé à mi-journée, pour raison météorologique, une tempête terrifiante s’abattant sur la ville et particulièrement sur ce quartier populaire. Alors que plusieurs groupes furent obligés de renoncer à jouer, seuls trois d’entre eux, Tibia, Strychnine et Z-Star, restèrent pour soutenir les membres de l’association, effondrés par cette déprogrammation de dernière minute catastrophique financièrement, et qui s’affairaient à négocier avec la mairie l’ouverture en urgence d’une salle de repli, afin qu’un concert puisse tout de même avoir lieu. Ce fut chose faite autour de 20h, et, matériel démonté et  transféré « à l’arrache », Strychnine et les deux autres groupes maintinrent leur concert, pour le plus grand bonheur du public revenu partager un moment musical, fraternel et convivial, alors qu’il n’y croyait plus et que des rumeurs concernant un éventuel dépôt de bilan de l’association affectaient tout le monde. La gratuité du concert fut maintenue ; néanmoins ceux qui souhaitent témoigner d’un geste solidaire à l’égard de cette association populaire qui enrichi de longue la vie du quartier et fait battre son cœur peuvent la soutenir en participant au pot commun en ligne ici : https://www.leetchi.com/c/rock-is-bac .

C’est en cet après-midi tourmenté que Luc Robène, guitariste de Strychnine qui par ailleurs accompagne le chanteur Arno Futur et fut auparavant membre de Noir Désir avant de jouer aux côtés de Kick         [https://leblogdudoigtdansloeil.wordpress.com/2015/09/09/entretien-avec-kick-autour-de-la-sortie-de-son-album-chien-fidele/], également universitaire de profession, acceptait de nous accorder un entretien pour parler du vaste, ambitieux et passionnant projet de recherches, d’archivages et d’études sur l’histoire de la scène punk française, auquel il œuvre avec Solveig Serre et plusieurs collaborateurs : « Punk Is Not Dead : Une histoire de la scène punk en France ».

– Luc bonjour et merci de cet entretien. Peux-tu nous parler de cet énorme projet que tu as initié?

– Je suis professeur à l’université de Bordeaux et historien, rattaché aux Sciences de l’Education. Je porte, avec Solveig Serre qui est historienne et musicologue, chercheure au CNRS, et une équipe d’une trentaine de personnes le projet « Punk Is Not Dead : une histoire de la scène punk en France », un gros projet de recherche sur l’histoire de la scène punk en France de 1976 à nos jours, donc sur 40 ans. C’est un projet qui a débuté en 2014, et qui depuis 2016 est financé par l’ANR (Agence Nationale de la Recherche), ce qui n’est pas rien, car il a été dur de convaincre nos institutions respectives, donc le CNRS et l’université, de l’utilité de ce bel objet de recherche, et d’un travail sur la culture alternative et ce qu’on appelle la « création en résistance ». Nous bénéficions de partenariats incroyables, dont un avec la Philharmonie de Paris – et faire rentrer le punk à la Philharmonie, ce n’est pas rien –, un avec l’École nationale des Chartes qui forme les conservateurs d’archives en France et est intéressée par le fait qu’on leur montre un terrain pour lequel l’archive n’est pas évidente, un autre avec l’INA, un avec la Fanzinothèque de Poitiers. Nous avons aussi monté un séminaire de recherches et de méthodologie à l’École des Hautes Etudes en Science Sociale (EHESS) qui s’appelle « Underground ! Écrire l’histoire du punk et des cultures alternatives » et se veut un séminaire de réflexion sur la question de comment travailler sur ces terrains sensibles, difficiles, comment on fait lorsqu’on est chercheur et musicien ou fanzineur. Et ce séminaire a accueilli un public énorme et fait un carton auprès des étudiants de l’EHESS, à tel point qu’on le reconduit l’année qui vient.

– Comment le fruit de votre travail va-t-il se matérialiser ?

– Il y déjà eu des publications, et il y en aura d’autres. On a publié un numéro de la revue Volumes! qui est la seule revue en France qui travaille sur les musiques populaires. Il y a également eu des articles un peu partout. Mais notre objectif sur le long terme est d’arriver à récolter des archives, parce que le Punk n’attend pas sur les étagères des Archives municipales. C’est pour cela qu’on travaille comme des fous et qu’on organise une journée d’étude par mois pour rencontrer des acteurs de la scène, faire surgir les archives, construire les réseaux, récupérer des témoignages. Nous en sommes à la vingtième journée d’étude depuis trois ans : c’est la première phase du projet, sachant qu’à terme, on voudrait monter un Centre de ressources et de recherche sur les cultures alternatives. En gros, il y a des journées d’études réalisées à Paris, sur les grands thèmes, tels la question du genre, l’archive punk, l’histoire du Punk urbain et du Punk rural, et puis il y a depuis maintenant deux ans des journées d’étude locales dans des villes spécifiques comme Toulouse, Rennes, Caen ou Rouen. Je rentre juste du Val d’Ajol dans les Vosges, où nous avons eu pour thématique l’histoire de la scène punk en Lorraine depuis 1976. La prochaine journée se tiendra à Lyon. Quelque chose se fera à Bordeaux le 1er décembre, à la Rockschool Barbey. Le projet concerne beaucoup de villes, mais pas forcément les plus grandes ; nous avons organisé une journée à Montaigü, à côté de Nantes, et il y aura sans doute Fumel, dans le Lot et Garonne. Nous visons donc des localités qui ont connu une scène punk importante et des aires géo-culturelles comme le Pays Basque, en collaboration avec Olivier Mathios qui est le bassiste des Hyènes et de Mountain Men. Il y a toujours une partie culturelle pendant ces journées, avec des concerts et des colloques. C’est quelque chose de très chaleureux et humain : on fait de la science, mais avec humanité. On était en recherche d’éditeurs pour publier, et nous allons monter une collection aux éditions Riveneuve qu’on va appeler « En Marge !».

– Votre travail se consacre-t-il au Punk des puristes ou aborde-t-il aussi les ramifications métissées à d’autres genres musicaux ?

– On travaille effectivement aussi sur la question de l’hybridation des genres. Il y a des choses assez incroyables. Et puis il y a aussi d’autres phénomènes qui s’agrègent, c’est-à-dire par exemple le retour à la terre : aujourd’hui les punks vont à la campagne, fondent des communautés et font vivre la ruralité. Et c’est assez formidable, car cela constitue un renversement des valeurs : le Punk n’a cessé de se réinventer en quarante ans, et aujourd’hui le discours punk n’est pas très éloigné de ce qu’était le discours baba-cool il y a quarante ans, alors qu’à l’époque les punks haïssaient les baba-cools. Cela constitue donc un retournement complet assez drôle. Et c’est ce qui est génial : le Punk est un véhicule pour faire ce qu’on veut et être libre, pour réinventer sa vie et s’affirmer. Le fait que l’esprit alternatif se développe dans la ruralité a donné du sens, parce que les gens ont théorisé ce qu’était le « Do It Yourself » (DIY), dont on fait une pierre angulaire du punk : en 1977, la base du punk c’était « Tu sais jouer trois accords, fais un groupe ! Tu as envie de t’exprimer, fais un fanzine ». C’était la débrouille, même si elle n’était pas définie comme DIY ; c’est ça,  l’esprit punk. Le punk s’est dès le début posé en rupture face à l’establishment, aux codes de la musique, à la musique savante : il s’agissait de déconstruire ce qui se faisait et reconstruire autre chose. Alors bien sûr le punk a été la matrice de ce qu’on appelle aujourd’hui la « scène alternative », des premiers labels indépendants comme Bondage Records ou Boucherie Productions, puis des mouvements dans les squats, des croisements avec les autonomes ; on peut se dire aussi qu’il y a du punk dans les ZAD – même s’il ne faut pas réduire les ZAD aux punks –  et dans tout mouvement de contestation, et il y a un lien entre punks et citoyens en lutte, punks et paysans. Nous avons rencontrés des gens qui s’autoproclament « punk bâtisseurs » et vivent à la campagne où ils ont construit leur communauté. Çà tranche avec les postures d’il y a quarante ans, mais l’auto-désignation, la revendication d’être punk est toujours là. Le punk peut être très paradoxal, en constante réinvention : un mouvement qui prônait l’absence de futur, et qui quarante ans après est toujours vivace, c’est quand même un sacré paradoxe. Les Sex Pistols disaient qu’il n’y a plus de rêve dans l’Angleterre à venir ; aujourd’hui les punks sont porteurs de rêves et invitent à en créer. Le principe de notre projet est de travailler sur ces marges là et de montrer que le punk est un prisme fondamental pour comprendre la société actuelle, comprendre comment les gens apprennent à résister, à faire autrement, à ne pas être résignés. 

– Qui participe à l’équipe de recherche ?

– Des universitaires et des chercheurs de toute spécialités : des historiens, des anthropologues, des spécialistes d’histoire de l’art, de littérature, de musicologie. Mais également des acteurs de la scène punk : c’est vraiment de la science participative. Par exemple Michel Ktu, qui tenait le squat de la Miroiterie à Paris et a organisé la scène punk à cet endroit, travaille avec nous. Laurence Ramos, plasticienne, militante de la Miroiterie, et qui possède de nombreuses connaissances et des réseaux à Lyon, a  co-organisé avec nous la journée d’étude sur la scène punk à Lyon. Ce n’est donc pas un projet refermé sur lui-même, mais quelque chose d’ouvert. Les journées d’études ne se tiennent d’ailleurs jamais à l’université, mais dans des lieux où les gens peuvent venir partager et échanger.

– Faites-vous appel aux particuliers qui auraient pu garder des documents ou des souvenirs ?

– Tout à fait : un site est dédié justement à recueillir ce que les particuliers peuvent donner comme information.  PIND a un beau site de recherche, sur lequel sont accessibles, en ligne, toutes les journées d’études, les photos, les captations sonores : http://pind.univ-tours.fr/  Et effectivement nous récoltons des archives auprès des particuliers et des musiciens : on a récupéré déjà trente ans d’archives du groupe Les Sales Majestés, toutes les archives de Radio FMR (qui est la radio libre historique de Toulouse et a vraiment été d’entrée un support pour le punk), les archives de la Miroiterie… Ça commence à s’intensifier.

– Y a-t-il une date butoir posée au projet pour la collecte d’archives ?

– Bien sûr les financements ont toujours un début et une fin, mais le projet pour nous porte sur du très long terme. Donc une partie de notre travail consiste aussi à monter des dossiers pour continuer à trouver des financements, y compris au niveau européen. On essaye aussi d’y sensibiliser les acteurs économiques du monde privé, car il y a des gens que ça intéresse.

– Non seulement des acteurs actuels du punk, mais touchez-vous aussi d’anciens punks qui se sont inscrits dans le mouvement au début où à un moment et en sont sortis entièrement ou partiellement pour évoluer dans des milieux professionnels autres et divers ?

– C’est un aspect très important. En terme de résultats de recherche, on obtient des choses assez fabuleuses, comme ce que tu viens d’évoquer, c’est à dire que le punk a été une matrice pour beaucoup de gens. Certains y sont entrés et en sont ressortis, mais n’ont jamais oublié. Et eux nous disent que le punk les a construits, et je parle de gens qu’on n’imagine pas avoir été punks, c’est-à-dire des gens qui travaillent dans des banques, dans la politique, les médias, au MEDEF, à l’université… L’ancien chanteur de Bérurier Noir, Fanfan, qui travaille avec nous, est ingénieur de recherche au CNRS, spécialiste du Vietnam par exemple; Hervé Zenouda, qui était le batteur des Stincky Toys, est aujourd’hui maître de conférences en Infocom dans le Var.  Il est important de montrer que même ceux qui sont sortis de cette culture lui sont reconnaissants de les avoir formés et construits. Il y a quelque chose d’ontologique.

– Votre travail a-t-il révélé d’autres aspects ignorés ou oubliés de l’histoire du mouvement qui peuvent surprendre ou, du moins, ne pas être une évidence pur tout le monde ?

– L’autre aspect qui surgit de nos résultats de recherche est aussi que le punk, contrairement à ce qu’on entend parfois dire, n’a pas été l’affaire de quelques happy few dans le milieu parisien : on a montré très rapidement, autour de la thématique punk des villes/punk des champs, que dès le début il y avait des punks partout : on a reçu des récits extraordinaires de gens des pieds des Pyrénées qui jouaient à Toulouse et ailleurs avec leur groupe, et pareil en Normandie ou dans d’autres régions. Ce travail permet de montrer l’importance de cette scène, son originalité, le fait que ce ne soit pas une pâle copie du punk anglo-américain, et même que des Français ont eu de l’influence à l’étranger : Metal Urbain est allé signer chez Rough Trade et a vécu un an en Angleterre ; les Stinky Toys sont allés jouer au premier festival punk à Londres. Et malgré tout, qu’on le veuille ou non, le premier festival punk d’Europe a eu lieu en France à Mont-de-Marsan. Et cela, personne ne l’a oublié. Il ne faut surtout pas laisser aux Américains et aux Anglais cette histoire là, car eux écrivent des articles sur la France et ne racontent que des inepties.     

– Le risque d’enfermer le punk  dans le passé et d’en clore l’histoire en le consacrant comme sujet d’étude a-t-il fait partie de vos craintes ?

– C’est une vraie question. On nous la posait souvent au début : ne risque-t-on pas de momifier le punk ? Pas du tout en fait, car c’est un projet ouvert sur l’avenir. On s’est rendus compte très vite que cette culture, qui pour nous est quelque chose de très important, disparaissait, tout simplement car beaucoup de ses acteurs sont morts très jeunes. C’est donc une culture vulnérable, et c’est le moment où jamais de s’y intéresser, de la faire revivre, pas pour l’enfermer dans des expositions, mais au contraire pour la légitimer. Ce projet est vraiment une aventure forte qu’on porte à deux avec Solveig et qui a la force pour aller assez loin. Le punk est passé du « No future » à « Quel futur pour demain ? ».

– Tu es toi-même musicien, guitariste de Strychnine et donc acteur de la scène punk de longue date. Quand as-tu commencé à jouer ?

– J’ai commencé dans Noir Désir où j’ai joué de 1982 à 1985 ; j’ai donc gardé des liens très forts avec ses membres. Nini [Denis Barthe, batteur de Noir Désir, The Hyènes et Mountain Men entre autres] vient d’ailleurs souvent sur les journées d’études. Et puis j’ai quitté Noir Désir pour jouer avec Kick, qui est devenu ensuite Kick and the 6. Donc lorsque Kick et Boubou ont reformé Strychnine, Kick m’a appelé, et mon intégration s’est faite naturellement. C’était en 2008, et puis on a fait le disque, avec David à la basse, qui est parti à un moment donné sans qu’on le remplace jamais, et depuis on joue ensemble à trois. Ça nous a forcé à trouver un son à trois, car jouer sans bassiste n’est quand même pas anodin. Kick joue sur un ampli de basse, avec des rythmiques dans les bas-medium, et on arrive à compenser l’absence de basse. On ne remplace jamais une basse, mais ce qu’on fait a du sens au niveau du son. En même temps, le rock, c’est ça : les choses ne sont pas forcément écrites, et c’est bien. Parallèlement je joue avec Arno Futur, l’ancien chanteur des Sales Majestés, depuis un an et demi. Nous avons d’ailleurs joué Chez Narcisse, lors de la journée d’étude du Val d’Ajol.

 

– Un dernier mot pour le festival qui devait se tenir en plein air ce soir et a dû être annulé pour raison météorologique. L’Amicale Laïque de Bacalan, qui l’a organisé, et dont les membres sont en train de chercher une solution de repli dans une salle pour maintenir une soirée avec certains des groupes, dont Strychnine, risque le dépôt de bilan à cause de cette annulation, catastrophique économiquement. La perspective de voir disparaitre une si ancienne association attriste beaucoup de monde. Que peux-tu en dire ?

– Ce qui se passe ce soir me touche, car des gens de cette association sont Parfum de Femme, un groupe bordelais, et j’étais au lycée avec eux. On se connait depuis qu’on a quinze ans !  

Miren Funke

Photos : Carolyn C (2), Betty Blue (3 ; 6), Miren Funke (1 ; 7 ; 10), autres transmises par Luc Robène

Liens :

Site PIND : http://pind.univ-tours.fr

FB PIND : https://www.facebook.com/pg/pind2016/posts/?ref=page_internal 

FB Strychnine : https://fr-fr.facebook.com/Strychnine-172824216155316/?filter=12

Amicale Laïque de Bacalan : http://rockisbac.amicalebacalan.com/

Le pot commun : https://www.leetchi.com/c/rock-is-bac

 

7 Réponses to “« Punk Is Not Dead : Une histoire de la scène punk en France » : entretien avec Luc Robène”

  1. Danièle Sala juin 21, 2018 à 20 h 08 min #

    Alors, punk un jour, punk toujours ? Le côté punk, je l’ai vécu par mes ados, dans les années fin 70/80, les épingles doubles, les jeans déchirés et les iroquoises, Strychnine, Sex pistols, The Clash, et autres, et contestation de la société. Ils en sont sortis, mais n’ont pas oublié, effectivement. Et No future pour l’un d’eux, parti trop tôt. Alors, quel futur pour demain ? En tout cas merci pour cet article qui aide à positiver sur le mouvement punk.

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