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Rencontres Marc Robine, vendredi 12 juillet 2019

15 Juil

            

 

Journée québécoise ce vendredi à Châtel-Guyon, en partenariat avec Auvergne Québec. Après les présentations en présence d’Edith Matthieu, présidente d’Auvergne Québec francophonie, vice présidente de la fédération France Québec, de Dominique Rousseau, président de France Québec, et Laurence Bérubé, une jeune québécoise, venue exercer un job d’été à Issoire, dans le cadre des intermunicipalités, programme jeunesse, programme destiné aux jeunes qui souhaitent venir travailler et mieux connaître le pays d’en face. France Québec, qui vient de fêter ses cinquante ans d’existence, d’échanges, d’amitié, c’est 3500 adhérents en France, 1500 au Québec, de nombreux jumelages.  Et si nous sommes là aujourd’hui, c’est parce que nous aimons le Québec, et les artistes québécois qui portent haut les couleurs de la francophonie. 

 

Photo MartineFargeix

Et c’est Claud Michaud qui arrive sur scène, avec sa guitare. Il nous raconte, qu’enfant, le sixième d’une famille de onze enfants, à la table familiale, son père disait aux enfants : Cessez de boire, de manger, de parler… Faites silence… C’est pour vous faire penser au bonheur, pour qu’il reste avec nous. On dit qu’il faut du courage pour être heureux disait Félix Leclerc. 

Et Claud Michaud nous parle de son admiration pour Félix Leclerc, homme de de mots, de parole, homme de radio, de théâtre, scénariste, metteur en scène, acteur, engagé pour la souveraineté du Québec, et pour la langue française : Il a allumé une petite flamme qui brille encore. Un géant qui a bâti. Et ses chansons sont plus actuelles que jamais. Et comment ne pas penser à lui, quand on entend la voix profonde tout en nuances de Claud Michaud ! Il incarne Félix Leclerc, avec sobriété et conviction,  ceux qui ont eu la chance de voir Félix Leclerc sur scène n’en revenaient pas. Et ce sont les plus belles chansons de Félix Leclerc que l’on écoute, avec enchantement, Bozo, Le train du Nord, nous rappelant cet accident ferroviaire au lac Mégantic, le déraillement  d’un convoi de 72 wagons citernes, contenant des millions de litres de pétrole brut, provocant un incendie, et tuant 47 personnes. La valse à Joseph, En attendant l’enfant, Les 100 000 façons de tuer un homme, Notre sentier, La drave, et il nous raconte ce qu’est la drave, fin mai, en forêt, on descend des billes de bois posées sur la glace épaisse, avec des bottes en caoutchouc percées, pour que l’eau s’écoule, un pic de métal dans une main, pour casser la glace, de la dynamite dans l’autre, et au cœur du courage. La fierté d’affronter la vie dure, de défier la mort, avec l’impression de s’amuser comme des enfants. :  Ça commence au fond du lac Brûlé,

Photo Martine Fargeix


Alentour du huit ou dix de mai.
La mort à longues manches,
Vêtue d’écume blanche,
Fait rouler le billot
Pour que tombe Sylvio.
Elle lui lance des perles,
Des morceaux d’arc-en-ciel
Pour lui crever les yeux
Et le briser en deux.
Sylvio danse et se déhanche
Comme les dimanches, les soirs de chance,

Remous qui hurlent, planchers qui roulent,
Parfums qui saoûlent, reste debout….

Une chanson que Claud Michaud chante en polonais, étant allé chanter Leclerc en Pologne, avec l’orchestre symphonique de Varsovie, il avait envie de leur faire ce cadeau, mais au début, en polonais ! Il finit en français : Moi, mes souliers, puis L’alouette en colère , et c’est Steve Normandin qui l’accompagne au piano pour la chanson testament de Félix Leclerc : Le tour de l’île. L’île d’Orléans, qui est comme un vaisseau qui traverse le temps…Le p’tit bonheur, que tout le monde reprend en choeur, une ovation debout, des rappels, et Claude Michaud nous chante L’hymne au printemps, une chanson de Maurice Fanon, L’écharpe, et une d’Henri Tachan : Pas vieillir, pas mourir. Un moment fort, où l’on a ressenti la présence de Félix Leclerc et apprécié tout le talent de Claud Michaud. 

Après avoir consacré des années à l’oeuvre de Félix Leclerc, et autres grands poètes, il revisite la chanson poétique au féminin , un vrai défi pour sa voix de basse,  avec son nouvel album, Comme si j’avais des elles,  Marie-Paule Belle, Danielle Messia, Pauline Julien, Michèle Bernard, Françoise Sagan, Marcelline Desbordes-Valmore, Mouffe… Le site de Claud Michaud :–> 

 

 

 

Photo MartineFargeix

On revient à 20 h 30, pour les concerts de Marion Cousineau, en première partie, et Paule-Andrée Cassidy.

La soirée commence par une chanson de Lawrence Lepage, reprise par Marc Robine : Le braconnier

Et Marion Cousineau arrive sur scène, avec sa guitare basse, pieds nus, pour son concert : Moi qui n’ai pas d’ailes : Même pas peur nous dit-elle, avec son doux sourire en coin, sourire de gamine, comme un paravent à ses fêlures, à sa fragilité, et elle nous embarque dans son univers, entre chansons et poésie, entre la basse et le piano, entre sourires et mélancolie, entre la France et le Québec, où elle a passé 8 ans de sa vie, après la Bretagne où elle est née, et la région parisienne où elle a passé une thèse de doctorat au département d’études cognitives de l’ENS à Paris. C’est au Québec où elle était venue pour approfondir ses recherches, qu’elle découvre et affine ses talents d’écriture, de musicienne, de conteuse, de tous les arts de la scène vivante, et du talent, elle en a , ses textes sont taillés au burin des émotions, et sa touche musicale très personnelle.

Photo Martine Fargeix

C’est un voyage au cœur de l’humain auquel on est conviés, tout en douceur, en subtilité, des portraits de femmes : Angèle, chanson née d’une rencontre dans un bar, La moitié de la beauté du monde s’est envolée en une seconde, quand on lui a pris son homme, Moi qui n’ai pas d’ailes, Vas y doucement, Comme une petite fille… Cap au Nord, etc… Et son interprétation de Sarment d’Allain Leprest, en rappel a mis toute la salle au bord des larmes, des larmes d’émotion. Et c’est sur ces mots qu’elle nous quitte: Si on laisse une trace, que ce soit celle d’un baiser. Je pars. Sûr qu’elle a laissé une trace,  un énorme coup de cœur pour moi qui la découvrais sur scène ce vendredi soir, et pour tous ceux à qui j’ai parlé à la fin de la soirée. 

 

On a pas le temps de se remettre de nos émotions, que c’est la pétillante Paule-Andrée Cassidy qui fait son entrée , en robe noire très sexy, qui souligne sa féminité à fleur de peau,  accompagnée de son pianiste, accordéoniste Steve Normandin. 

Paule-Andrée Cassidy, interprète hors normes, mais aussi compositrice, auteure, actrice, et metteur en scène auprès de jeunes artistes, promène dans le monde depuis 20 ans les chansons de Boby Lapointe, Léonard Cohen, Gilles Vigneault, Horacio Ferrer, Michel Rivard, Daniel Boucher, Brassens, Barbara, Reggie Brassard,  Sophie Anctil et d’autres auteurs-compositeurs de tous les pays… Et maintenant les siennes, de sa voix chaude et sensuelle. 

Elle a 7 albums à son actif et a obtenu de nombreux prix, dont le Grand prix de l’académie Charles Cros, et elle est la première québécoise à remporter le prix Jacques Douai, en 2015, conjointement avec Marie-Thérèse Orain. 

 Inclassable, elle peut être tango, quand elle chante en espagnol Garganta con arena, rock avec Perspective Nevski, ou chanteuse à texte avec Aragon , Gilles Vigneault, chansons à danser : Va danser de Gaston Couté, ou Libre-échange : Puisque nous sommes bénis deux fois par le désir et l’affection / Autant en profiter pour danser / Un tango panaméricain podorythmie, bandonéon / Levres de dulce de leche... chansons à s’émouvoir : Perlimpinpin de Barbara, Une branche à la fenêtre de Gilles Vigneault ,  qu’elle chante avec Steve Normandin . 

Jamais les fleurs du temps d’aimer
N’ont poussé dans un coeur fermé
La nuit, le jour, l’été, l’hiver
Il faut dormir le coeur ouvert…

Chansons à frissonner d’horreur avec La malédiction de l’ascension, mais Paule-Andrée chante cette chanson avec tant de jubilation qu’on arrive à  avoir une sympathie perverse pour cette Lottie aux yeux verts. 

 Inclassable, diverse, mais toujours au plus près de la sensibilité de l’auteur du texte. Et elle nous a offert la primeur de deux chansons qu’elle vient d’écrire, avec des compositions de Vincent Gagnon.

Evoluant sur la scène avec grâce et légèreté, déployant ses bras comme des ailes d’hirondelle, Paule-Andrée Cassidy, nous a charmés, enchantés.

Photos Martine Fargeix

 

Puis une finale-surprise en beauté pour clore cette soirée québécoise, les 4 artistes, Claud Michaud, Marion Cousineau, Paule-Andrée Cassidy, et Steve Normandin se sont rassemblés sur la scène pour chanter ensemble : Les gens de mon pays, de Gilles Vigneault : 

Je vous entends demain parler de liberté…

 

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Photo Martine Fargeix

Après une longue ovation debout du public, on a pu retrouver les artistes et leurs albums, dans le hall du théâtre. 

 Samedi 13, Oeuvres croisées : Le braconnier de Dieu, Brassens et Fallet, et du théâtre Petits crimes conjugaux, à Saint-Ours-les-Roches, à suivre…

 

Danièle Sala

Rencontres Marc Robine 2019…

28 Juin

Les Rencontres Marc Robine sont organisées par l’association On connait la chanson, association qui œuvre pour la promotion de la chanson en Auvergne. Elles auront lieu du 3 au 14 juillet.

Et pour cette vingtième édition, qui porte un joli nom  Les Rencontres EnChantées, les Rencontres bougent, allant justement à la rencontre des gens du pays : Riom, Limagne, Volcans, en partenariat avec les associations, et les communes concernées, avec la volonté de décloisonner les différents univers artistiques. 

C’est ainsi que nous aurons, outre la chanson, de la poésie, du théâtre, des contes,  des balades autour du patrimoine auvergnat. Le public va donc bouger aussi, et même danser.

Ces rencontres débuteront le 3 juillet, à 20 h 30, à la salle Dumoulin, à Riom, avec Sanséverino qui interprétera François Béranger : 

Photo NGabriel2019

Photo NGabriel2019

Cette formule dépouillée sert à merveille la princesse de la rue qu’est la chanson de François Béranger. De sa voix rugueuse, Sansévérino met en lumière le blues et le folk qui irriguent le répertoire. L’esprit de Béranger est respecté, les textes vont à merveille au titi parisien. La salle est ravie, standing ovation… Sanseverino sur scène est extraordinaire. Toujours un grand moment. Il sillonne en ce moment notre beau pays avec sa guitare en bandoulière. Il passe chez nous, n’y allez pas… Courez-y ! 

 

Sansévérino et The Beber project, c’est là, vu récemment, clic sur  l’image –>

En première partie ce sera Frédéric Bobin, que nous aurons le plaisir de retrouver  le 9 juillet .

Le 4 juillet, c’est à Riom, et c’est gratuit,
en partenariat avec le centre social et l’école de musique de Riom, qui aime la chanson,  la preuve par Kay Mariposa, et Via Olivia, qui nous serviront un paquet découverte de leurs chansons, à 18 h, au Couriat, place José Monron,

et à 20 heures 45, un concert de Lily Luca :

Lily Luca est une chanteuse à la démarche artistique gourmande et singulière, originale et parfois loufoque, une artiste qui n’aime rien tant que brouiller les pistes pour mieux tracer son propre chemin. Un moment jubilatoire, intelligent et savamment construit… Impossible de lui résister ! 

Photo DR

Le 5, toujours au Couriat, à Riom, toujours en partenariat avec le centre social et l’école de musique de Riom, et toujours gratuit, à 18 heure, Cécile Coulon proposera une lecture musicale, autour de son recueil : Les ronces, ( prix Apollinaire 2019), en compagnie de Marie Bunel, comédienne et Yannick Chambre, à l’accordéon et interprétation musicale. Et à 20 h 45, Un concert d’Erwan Pinard, du sacré rock à la française…

Le 6, à Riom, au tout nouveau cinéma Arcadia, à 20 h 30, Olivier Gotti nous interprétera Ô Boys BD-Concert Blues :

Photo DR

Ce BD-Concert joue la partition musicale du 3e tome, Midnight Crossroad  de la bande dessinée O’Boys, illustrée par Steve Cuzor. (Dargaud)

Dans les années 30, dans les États-Unis du sud ségrégationniste, Huck et William, l’un jeune blanc, l’autre esclave noir, se lient d’amitié et scellent leurs destins par leurs différences… et le blues. Adaptée pour ce spectacle, la bande dessinée en noir et blanc est projetée sur l’écran, avec des bulles muettes blanches, sans texte. C’est alors que l’univers du Tennessee et de sa musique s’animent à travers le chant d’Olivier Gotti et de sa guitare Lapsteel présents au-devant de la scène… Le blues, au service des illustrations, remplace les dialogues et fait résonner durant 60 minutes l’émotion de l’œuvre, par cet alliage artistique qui s’avère dès lors indissociable. Cette projection sera suivie d’un échange d’Olivier Gotti avec le public, agrémenté de quelques chansons.

Le dimanche 7 juillet sera une journée festive consacrée à l’histoire et au patrimoine, à Marsat, et ce sera gratuit. Un apéritif musical à 11 h 30, au parc boisé de la mairie, suivi d’un repas chantant animé par Michel Conte, et tout le monde pourra pousser sa chanson. Puis à partir de 15 heures, on déambulera avec Kamelot, lors d’une animation musicale et burlesque costumée, par la troupe Art’Terre d’Auvergne, 15 acteurs, musiciens et chanteurs.

Le 8 juillet, on sera avec Les Brayauds, et en partenariat avec le festival Les Volcaniques,  dans la grange du Gamounet, une journée chansons, tradition, conférence chantée, repas auvergnat, et bal à 23 heure pour clore la soirée. Pour tout savoir, c’est là :

 

Photo NGabriel (archives)

Le 9, à 20 h 30, au Centre culturel La Source, à Volvic, c’est Fred Folk, et je ne saurais mieux dire : 

L’alchimiste de la chanson – celui qui touche à l’essentiel – prix Marc-Robine 2012, revient, auréolé de ses triomphes à l’Olympia et au Trianon, comme dans toutes ces salles qu’il sillonne, émerveillées, complices comme rarement un public peut l’être. ” Fred Folk”, ce sont les chansons dans la veine folk de Frédéric Bobin, des chansons folk américaines adaptées en français (Cohen, Graeme Allwright, Tom Paxton, Townes Van Zandt…), chantées avec Pierre Delorme ; quelques chansons américaines folk chantées par Mikael Cointepas sur des poèmes de William Blake, Yeats… et une chanson de Marc Robine.

Frédéric Bobin : chant, guitare, Mikael Cointepas  : contrebasse, chant Pierre Delorme : guitare,  chant, Vincent Dupuis : harmonica.

 

Le 10, toujours à Volvic, à 15 heures, une balade volvicoise : Au pays de la pierre et de l’eau, à 17 heures, un concert du groupe Afunalhue : Quatre voix et une dizaine d’instruments pour interpréter les grands poètes et cantantores traditionnels et contemporains du Chili, d’Argentine et d’autres pays d’Amérique latine. Emile Sanchis : chant, guitare, direction artistique

  • François Dumas : chant, tiple, charango, cuatro, bombo
  • Marusia Rebolledo : chant, flûte traversière, quena, zampona
  • Simon Sanchis : chant, guitare, tiple, accordéon
    • Photo NGabriel (archives)

      Et, au Centre culturel La Source, ( qu’on appelait autrefois salle des fêtes),  à 20 h 30, un concert de Baptiste W.Hamon, prix Marc Robine 2019 . Nourri au biberon du folk américain, de Dylan à Cohen, Baptiste W. Hamon s’affranchit peu à peu de ses influences américaines qui l’ont fait rêver enfant pour renouer avec ses racines françaises. Serge Reggiani au pays de l’oncle Sam, Jacques Bertin sur les rives du Mississippi… Le meilleur de la country et du folk américains peut se traduire en français. La preuve avec ce garçon déjà indispensable. 

 

On reste à Volvic, le 11 juillet, pour une déambulation  avec Dominique Cista, à 15 heure, Le prétexte à relire Jean Giono, Henri Pourrat, Alphonse Daudet, et à redécouvrir et réécouter Félix Leclerc.

Et à 17 heures, “MÊME LES VIOLETTES ONT DE LA MÉMOIRE” DE NATHALIE THIBUR

Dans ce village, nul besoin de coller son oreille à un coquillage, ce n’est pas la mer qui raconte des histoires… ce sont les gens. Ils m’ont ouvert toutes grandes leurs portes. Il m’a suffi d’entrer, de m’asseoir et de les écouter. De ces rencontres est né un spectacle, librement inspiré de  leur récit.”Nathalie Thibur. Récit en musique, avec la complicité de Coline Malice, accordéoniste auteure compositrice interprète. Tout public, à partir de 12 ans. Durée : 1 h 10 . Nathalie Thibur, conteuse ; Coline Malice, accordéon  19h Repas.

SONY DSCJEUDI 11 Juillet / VOLVIC CENTRE Culturel La Source  20H30 SPECTACLE Gilles Servat “Couleurs : Conte et chanson”
” Il m’a fallu du temps pour devenir conteur, oser prendre des libertés, impliquer le public… Quel bonheur, pour moi, cette aventure, cette présence, à la fois proche et différente de celle du chanteur.
Gilles Servat entre chansons et contes. L’étrange se mêle à la chanson, la philosophie naît de l’absurde, et le public, enthousiaste, chante les refrains… avec un autre parfum dans son émotion.
Gilles Servat : contes, guitare,  Patrick Audoin : guitare

Photo Chantal Bou-Hanna

chatel guyon

Le 12, c’est la journée québécoise, à Châtel-Guyon, avec, à 17 heures Claud Michaud

Un homme qui chante / L’univers de Félix Leclerc

 

 

et à  20H30 CONCERT  , Paule-Andrée Cassidy: Libre échange, et Marion Cousineau (première  partie)
Quand la dernière note d’une chanson résonne, les mains prêtes à applaudir restent suspendues. Elles attendent. Comme si elles allaient briser quelque chose. Moment de grâce…  L’univers de Marion Cousineau lui ressemble. On vient l’écouter avec la certitude de se laisser prendre par le cœur.

Photo NGabriel (archives)

PAULE-ANDRÉE CASSIDY “LIBRE ÉCHANGE”

Un concert de Paule-Andrée Cassidy, c’est assez rare en France, ça se déguste, ça fait battre le cœur… Sa finesse d’interprétation lui permet d’entrer dans le répertoire de Barbara avec délicatesse, dans celui de Brassens avec assurance, ou encore celui de Gilles Vigneault avec brio… Il serait vain de la classer dans une catégorie, chanteuse à textes, chanteuse de charme, de tango ou même de rock, elle est tout cela à la fois. C’est une artiste rare, profonde et d’une féminité à fleur de peau dont elle sait si bien jouer sur la scène devenant  parfois aussi sensuelle que La Gréco des débuts…

Paule-Andrée Cassidy : chant, Steve Normandin : piano, accordéon

 

    •  Le samedi 13, à Châtel-Guyon, journée gratuite, en partenariat avec l’Amicale du Sans-souci, à 14 heures, une grande balade d’une heure 45, en slam et poésie, avec Gaby sans L et WillyGex, slam, collectif Alternatif Poésie : La Côte ronde et les Percières, à 17 heures, pot amical en chansons avec Les anciens de Thermes,  à 18 heures, nous serons à la salle polyvalente de Saint-Ours-les-roches, avec Agnès Doherty : Le Braconnier de Dieu : 
  • Photo DR

  • BRASSENS ET FALLET, OEUVRES CROISEES

Le braconnier de Dieu, c’est Grégoire Quatresous, entré par hasard dans un couvent trappiste qui en sort en rencontrant l’amour ! Agnès Doherty conjugue la prose de René Fallet avec la poésie de Brassens. Les graves de l’instrument soutiennent une interprétation à la diction parfaite. Elle guide la salle vers l’émotion, le rire et le chant fredonné. La  belle voix d’Agnès Doherty, cristalline, transcende Fallet et fait déguster Brassens.

 

  • et à 21 heures, du théâtre : Petits crimes conjugaux d’Eric Emmanuel Schmitt par la compagnie Les Eruptifs.
  • Nous arrivons au 14 juillet, et nous serons à Ennezat, Chambaron-sur-Morges, au Bistrot de pays,  Le Caveau du fort, à 12 heures, repas spectacle avec Simon Goldin, et à 20 heures, nous serons allée des marronniers, en plein air, à Ennezat, pour un dernier tour de bal.
  • Douze jours bien remplis donc.  Détail du programme –>    ICI.
  • Calendrier des concerts voyez  Qui chante–>

Danièle Sala

 

CADEAUX:  des places à gagner,  pour cela, rendez-vous ici même, dimanche 30 Juin à midi, vous aurez la piste à suivre.

 

Il est midi, à vos claviers !!

Gagnez des places en trouvant une ou deux réponses, au choix, pour les spectacles suivants:

Sansévérino et The Beber Project (Béranger)
Fred « folk » Bobin et Pierre Delorme
Gilles Servat
Claud Michaud
Paule-Andrée Cassidy

1- Qui a eu le Prix de l’Académie Charles Cros pour le livre de référence sur Brel

2 – Qui chante ces auteurs : Sophie Anctil , Leonard Cohen, Boby Lapointe, Atahualpa Yupanqui , Perlimpinpin … et une fabuleuse fresque sanglante avec la délicieuse Lottie blonde irrésistible aux yeux verts …

3 – Qui a traduit et chanté un ACI américain dont les initiales sont T V Z ?

Une réponse = une place,
Si vous donnez une seconde réponse = deux places.

(Une ou deux réponses suffisent )

Attributions dans l’ordre des réceptions. Merci d’indiquer au moins deux concerts dans vos préférences.. . Et donnez la réponse et vos choix en envoyant un courriel à :

norbert.gabriel@gmail.com

 

 

 

 

 

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