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Cabaret Barouh …

2 Avr

Il me semble entendre la voix de Pierre Barouh qui murmure, les rendez vous d’ailleurs, c’est tout-à-fait ce qui me plait pour prolonger l’art des rencontres…

Et puis si Pierre est ailleurs il y aura son pianiste, Pierre-François Blanchard, qu’on voit ici dans ses oeuvres… Tout est précisé ci-dessous, on réserve et on y va.

Norbert Gabriel

Eric, Margaux, Guilleton et compagnie…

18 Mar

Photo©NGabriel2017, il manque Camille Guilleton, (caché par Clémence) et il y a deux invitées en plus, à vous de deviner qui est qui.

C’était comme la Saint Guilleton au Forum Léo Ferré, haut lieu bien connu pour faire pélerinage en chansons, et entonner cantiques avec une assemblée de fidèles dont la dévotion sans faille se vérifie régulièrement à l’appel du révérend Tcherniak, pour y communier et plus si affinités… Le petit vin du lieu est conforme à l’hymne de Laffaille, sans modération. Ce qui explique peut-être un lyrisme débridé, quoi que justifié . Justifions donc.

En mode objectif, le constat est net : le jeune patriarche Eric s’est entouré d’accortes vestales et acolytes, mis en scène par Margaux Guilleton, maîtresse de cérémonie qui a conduit le bal avec une maestria épatante. En plus de ses talents de chanteuse, elle s’impose naturellement par une présence en scène de chef d’orchestre menant sa troupe avec souplesse et efficacité. Nous avons été plusieurs à la fin du spectacle à trouver que c’était très court, temps passé comme dans un rêve enchanté. Soirée revival des chansons d’Eric Guilleton, l’une avait 25 ans, et elle est revenue rajeunie avec Margaux en piano voix, mais avant, il y avait eu des duos-trios, avec ces artistes-amis choisis, Lise Martin, Inès Désorages, Camille Guilleton, Mathieu Barbances, Clémence Chevreau, Clémentine Lamothe, Valentin Vander, Anne-Claire Marin, Garance Bauhain, Matthias Vincenot. Chacun apportant au répertoire d’Eric une couleur de printemps tout neuf par ces voix nouvelles.

Nous avons été quelques uns à découvrir (ou redécouvrir) ce répertoire, et cette éblouissante Margaux; du côté d’Etampes, il doit y avoir des potions familiales qui valent bien celles de Panoramix pour faire saltimbanque tout-terrain et de haut vol.

Emotion, grâce et sens du partage, les invités étaient de vrais amis, et ça se voyait. Comme dit le révérend Tcherniak, les lendemains de la chanson ont peut-être une vraie chance avec ce genre de soirée. Séchez vos pleurs, amis lointains et absents, il y avait une captation vidéo, et peut-être que ce sera visible un de ces jours. Dans le fond de l’air, il y  avait comme un souffle de Saravah et de Pierre Barouh…  C’était bien.

Norbert Gabriel.

En mode subjectif, genre bla-bla-blog ébaubi : c’est à peu près la même chose que précédemment, en ajoutant peut-être que selon l’âge et le temps, on a tous envie que Margaux soit notre petite fille idéale, notre fille, ou notre fiancée, voyez dans quelle situation vous vous imaginez crédible.

Grand’pa Norbert

Si vous pensez que le vin, ou Margaux m’ont tourné la tête, terminons avec ces lignes, tout est bien résumé.

Autre écho…

Ce fut un moment magique. Tout à l’heure, j’irai dire quelques poèmes pour les promeneurs vers La Butte aux cailles de mon enfance et j’aurai encore en tête et au cœur ce bouquet luxueux de musique et chansons offert par la tribu Guilleton.

André Clavelle

et pour quelques images de plus…

Ayant failli dans la prise de vue concernant le duo Garance et Eric Guilleton, je reprends une photo d’archives de Garance 2016 pour l’associer au Guilleton 2017… dont la couleur de cheveux n’est pas une coloration Clo-Clo, mais un reflet de lumière…  c’est joli quand même…  (NG)

Eric Guilleton, Ces temps d’errance…

22 Fév

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C’en est un qui tangue mais ne chavire pas… Quand vous vient un coup de spleen, quand chanter parfois ça fout l’cafard, mettez les voiles avec Eric Guilleton.

Baladin et balladin, sa vie est comme cette rencontre joyeuse au Cambodge*, qu’on pourrait résumer par une chanson, une école. Un art des rencontres aux résultats parfois inattendus, avec des histoires qu’on dirait sorties de « La vie est belle » de Capra.

Ces histoires,

On les r’trouve en raccourci
Toutes les joies, tous les soucis
Des amours qui durent toujours **

Elles pourraient être illustrées par des images de Doisneau, de Ronis, de Boubat, quand le beau est dans le regard du photographe, la vie peut être supportable dans les chansons. Tel est Guilleton. Un porteur d’étincelles qui met de la Eric dessinlumière dans les ombres du quotidien. Un trappeur qui emprunte les coins de ciel bleu quand les temps sont à l’orage, et qui les sème dans ses jardins ouverts à tous. Comme ce Jardin d’Eric, au Cambodge, école pour enfants des rues, née grâce à une chanson.

Elles pourraient être illustrées aussi par un tableau de l’auteur

Son nouvel album s’est habillé de la belle compagnie de l’Orchestre DécOuvrir, clarinette, quatuor à cordes, contre-basse, piano trombone, cor, accordéon, banjo, guitare, nouveau décor musical sous la baguette d’Etienne Champollion.

Et c’est dans les chemins de traverse que cet orpailleur trouve lami Pierrot, qui lui prête sa plume quand il l’âme à l’enclume et la rime à zéro. 

Au final, il y a toujours cette écriture limpide, élégante, précise, associée aux fines mélodies, et ça nous donne les fiançailles heureuses des notes et des mots qui s’aiment. Et c’est le cadeau d’un ami qui joue pour vous.

Et comme c’est vraiment un ami, Patricia et Margaux Guilleton ajoutent leurs voix au bouquet, merci, m’sieur-dames…

La maison d’Eric, c’est ICI.

L’Orchestre DécOuvrir, c’est là.

Extrait pour l’ambiance

*La rencontre joyeuse est une aventure Saravah, une sorte d’utopie qui s’est concrétisée, Eric Guilleton est au Cambodge, il rencontre une sorte de foyer d’accueil pour enfants des rues, ensemble ils font une chanson, et grâce à cette chanson nait le Jardin d’Eric, une école de formation de gymnastes…  Le poète qui rêve est aussi un bâtisseur …

** Merci Georges Brassens et Paul Fort. (La marine)

Norbert Gabriel

« Ces temps d’errance » titre initial , est devenu « Les temps d’errance ».. . et par les temps qui courent, l’errance est bien partagée. Au sens propre et au sens figuré.

Autour de Renaud , et bonnes nouvelles

22 Jan

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C’est pas parce que c’était une sorte de soirée privée qu’il faut priver le monde de quelques échos sur les belles surprises-reprises que cette bande de jeunes a proposé sur la scène du Canal, quai de Jemmapes.

Il y avait dans un ordre presqu’alphabétique, Bruno Guglielmi, Emilie Marsh, Etienne Champollion, Eric Guilleton, Garance, Hélène Garrigues, Lise Martin, Tomislav. A l’initiative du Comité d’Agence de l’ARS, Ile de France, qui terminait un cycle de 18 Rencontres d’Ars’tistes. Je suis une bande de jeunes, comme l’a dit Marie-Pierre Fillon, présidente du Comité qui organisait ces soirées avec Patrik Scornet, la preuve par la photo ci-dessus… Tout le monde est d’accord…

Sur le plan forme, bravo pour la mise en place, sans filage, les 6 artistes, avec en plus deux musiciens ont alternés, solos, duos, sextêtes, je veux dire 6 en scène et en voix sans temps mort, et même s’il y eu parfois un pas de travers, très bien rattrapé, on pouvait se demander si ce n’était pas fait exprès, comme le funambule facétieux qui vacille pour faire frissonner le public anxieux…

C’est en quelque sorte une famille élargie, des enfants de Renaud ou des frangins, qui est venue renauder ce jeudi 21, en bons troubadours sans complexes. Avec des voix nouvelles, des tempos différents, les chansons ressuscitent, prennent parfois une dimension insoupçonnée. Et ça donne une furieuse envie de remettre Boucan d’enfer, Mistral gagnant et quelques autres albums sur la platine
Dans cette soirée unique, grand bravo à tous, et mention spéciale à Garance et Lise Martin qui ont fait un numéro éblouissant de virtuosité vocale et gestuelle avec « Tu vas au bal »

Pour rappel la voici par Renaud.

En attendant peut-être des extraits vidéos chez Hexagone, faisons un lobbying intensif voici l’adresse pour la manif ! (Clic sur l’image)

logo-hexagonecasquemodif

fredDernière heure : le spectacle de Fred Saurel :  Le soliloque de Grimm  qui était prévu pour une seule date parisienne, revient à la demande générale, ce sera le 24 Février à la Comédie de Paris. C’était chroniqué ICI.

et on réserve LA. ===========>

 

 

pascal-sangla-aaa-001Deuxième bonne nouvelle, Pascal Sangla, revient suite au succès de ses dates d’automne à la Scène du Canal, Pascal Sangla joue les prolongations, toujours avec Yannick Sabarots.

Les lundis 25 janvier, 1er, 8 & 22 février à 20h

reservation-ej@asso-crl10.net  ou 01 48 03 33 22   locations : FNAC / www.fnacspectacles.com

 

Et le spectacle continue…

Norbert Gabriel

 

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