Pour tous ceux qui aiment la scène vivante, les meilleurs artisans de la chanson, les réflexions, les points de vue, les échanges et actions diverses autour de la chanson, les lieux qui l’accompagne et la font vivre, toute l’actualité, sorties d’albums, spectacles vus ou à voir, avec sérieux, un zeste d’humour, des photos sublimes, et même des dessins, un beau livre, avec une couverture épaisse qui peut trôner dans nos bibliothèques, Hexagone le mook est incontournable. Et nous en sommes au numéro 7, Printemps 2018, et ce numéro marque une ouverture vers d’autres arts, comme l’annonce David Desreumaux dans son édito, avec la rencontre de Serge Rezvani, peintre, romancier, poète… Et auteur de chansons , entre autres, le tourbillon, chanté par Jeanne Moreau, dans le film de Truffaut Jules et Jim. Il se dit amateur au sens noble du terme, mais a quand même obtenu deux fois le Grand Prix de l’académie Charles Cros ! Et la chanson tient une place importante dans sa vie :
Certaines chansons pendant la guerre m’ont marqué, et si je les entends ou si je les rechante c’est un peu comme la madeleine de Proust : tout d’un coup tout revient de manière extraordinaire, et je pense qu’il y a peu de choses aussi aussi fortes qu’une musique, une chanson qui a marqué un certain moment de votre vie.
Parenthèse d’humour en ouverture, celle là, je l’aime bien : La victoire de la Musique dans la catégorie « artiste féminine » n’a pas été décernée à Orelsan.
Un rencard avec Loïc Lantoine, par Roxane Joseph, un artiste hors cadre qui sait saisir les opportunités et avancer avec aisance dans ce monde très codé de la musique.Loïc Lantoine qui a remporté avec le Toubifri, Very Big Experimental Toubifri Orchestra,double album et concerts dans toute la France, le Grand prix scène de l’Académie Charles Cros.

Photo Vincent Josse
On s’intéresse ensuite au patrimoine en danger, avec Clémentine Deroudille, qui pose la question : Quand verrons nous un musée de la chanson ouvrir en France qui permettrait de recenser, restaurer, conserver et présenter ces trésors inestimables. Objets, manuscrits, affiches, photos, costumes, lettres, appartenant ou ayant appartenus à nos chers artistes, et qui sont dispersés un peu partout. On a vu, avec le succès des exposition Brassens, ou Barbara, qu’il y avait un public pour ça.
Chanson & Poésie, Quand la littérature prend l’air, regards croisés d’écrivains et poètes sur les rapports entre poésie et chansons, conçus par David Desreumaux et Patrick Engel.
Poètes, pas poètes, le débat est aussi vieux que l’histoire de l’expression humaine, nous dit par exemple Olivier Chaudenson, directeur de la Maison de la poésie. Ne pas nier les différences, certes, mais ne pas les hiérarchiser non plus…Rappelons toutefois que les plus grands poètes ont écrit des chansons : Prévert, Aragon, Mac Orlan… Nous rappelle Philippe Delerm.
Stéphane Hirschi, professeur de littérature française moderne à l’université de Valenciennes, qui a inventé une discipline universitaire, la cantologie, raconte cette longue histoire depuis la rencontre de la poésie et de la chanson, Sous la bannière du lyrisme, poésie et chanson se rencontrent six siècles avant JC. En grèce, Pindare et Sapho expriment leurs sentiments en vers : rythme et mélodie… Jusqu’à nos jours, pour conclure : Oser faire fredonner des règles qu’on bouscule, qu’on déplace, qu’on met en perspectives nouvelles, ne serait-ce pas cela, la rime profonde entre poésie et chanson ?
D’ailleurs demande Matthias Vincenot, poète :Un poète sait-il forcément écrire des chansons ? En précisant qu’il ne faut pas confondre la poésie avec la poétique.
Et En quoi l’écriture d’une chanson peut-elle différer de toute autre écriture ? Demande le parolier Jean Fauque.
Et c’est avec Olivier Chaudenson, qu’on revient pour mieux connaître la Maison de la poésie, devenue un lieu singulier, ouvert à tous les genres littéraires, avec beaucoup de musique et beaucoup d’images. Un lieu de création, une maison en mouvement, qui tend à rattacher la littérature au spectacle vivant, sans étiquetage, avec comme première urgence de reconnecter la poésie, la littérature, à un public plus large : ça me semble très naturel de dire que la littérature est un art vivant.
Et puis, les différentes formes d’écriture ne s’opposent pas. Elles se complètent, s’apportent l’une à l’autre, et aujourd’hui se rencontrent sur scène, précise Marie Modiano, qui se définit quand à elle comme une musicienne qui écrit de la poésie et des romans…Ou bien le contraire, qui sait ?
Quel que soit le procédé artistique, il existe par le fait même qu’il s’offre au monde. La chanson existe ainsi en ce qu’elle entre dans le domaine public. Ajoute Barrio Populo.
Et pour Sophie Nauleau, Docteur en littérature française, et directrice du Printemps des poètes, on ne peut plus dire que la chanson est un art mineur, quand on voit tous les plus grands poètes qui sont chantés.
La chanson, c’est aussi l’affaire de Miss Knife, chanteuse de cabaret, à ne pas confondre avec son double, Olivier Py, poète, romancier, directeur de l’Odéon, puis du festival d’Avignon. Deux carrières totalement séparées. Miss Knife est une chanteuse et fait du music-hall depuis 25 ans : chanter des chansons, ça répond mieux aux questions que des livres sérieux.
C’est avec Marie-Thérèse Orain que nous avons ensuite rendez-vous, pour la partie un de la collection de printemps, propos recueillis par Flavie Gerbal.
Une vie bien remplie pour cette comédienne pleine d’énergie, qui, à force de belles rencontres, notamment avec Patachou, a réalisé son rêve, après avoir traversé toutes les vagues musicales possibles et inimaginables, depuis ses débuts en 1962, se consacrer uniquement à la chanson et à la scène, et c’est au forum Léo Ferré, à Ivry que son CD Intacte a été enregistré en 2015. Textes choisis pour leur qualité, plutôt que sur la notoriété de l’auteur, on trouve sur ce CD, Anne Sylvestre, Léo Ferré, Jacques Debronckart, Claude Lemesle, Gribouille, Pierre Tisserand, Anne Sylvestre.
Une invitation de Malorie D’Emmanuele à écouter Un Camp, EP de 4 titres de Makja,( maquis, en corse) un regard sur cet artiste qui a décidé de créer, seul, un projet musical. Création d’un espace d’échange aussi bien humain qu’artistique. Il se définit comme un artisan des mots, aux influences électro ou symphoniques, je découvre, et j’écoute : Car née de doutes / Ma musique est fille de sentiers / Dans cette vie de virages / Inconstante est la mise en pieds…
Karine Daviet, elle, nous raconte le parcours de Gael Faure, de son Ardèche d’enfance à Paris, en passant par La Nouvelle star, sans en tomber dans les pièges, il a pris son temps, avec une force tranquille : prendre son temps est le plus sûr des chemins. Et son idée c’est de montrer que l’authentique peut revenir à la mode sans forcément être ringard.Son deuxième album, Regain, sorti en janvier 2018, raconte ce voyage intérieur.
Chic & Choc, c’est Gervaise, vue par Flavie Girbal, Gervaise l’ultraféminine, pourfendeuse de clichés à tout crin, qui vient de remporter le prix du public et le prix Catalyse Georges Moustaki.

Photo DDesreumaux
Et, surprise ! C’est Mad, l’affreux jojo du Rosbif saignant qui nous propose un Sanseverino servi chaud en le présentant comme un Bluesman facétieux : Connu et reconnu comme chanteur populaire et musicien hors pair, Stéphane Sanseverino se la joue Bateleur Joe avec son huitième album Montreuil/Memphis. Surtout ne pas lui mettre d’étiquette, comme celle de jazz manouche qui lui colle à la peau depuis des années, alors qu’il n’a fait que deux albums sur huit de ce genre, lui aime le changement, se marrer, mais pas que : Faut qu’ils s’y fassent, je ne suis pas juste un amuseur public.
Une fiche pratique, très drôle bien qu’étant réaliste sur les ficelles du métier, Les premières parties, par Boule. Un petit exemple : Avant de partir, PENSEZ à VIDER les FRIGOS des loges en guise de DEDOMMAGEMENT, ainsi que les corbeilles de confiseries et autres barres chocolatées. VOS enfants seront contents.
Toujours beaucoup d’albums récents chroniqués, Un florilège d’Anne Sylvestre 60 ans de chansons en 3 CD-45 titres, Juliette : J’aime pas la chanson, Frédéric Bobin : Les larmes d’or, Les hurlements de Léo : Luna de papel, Môrice Benin : L’inespéré entre les lignes, Jules Nectar : Nos rêves, Pigalle : Ballade en mélancolie, Les Escrocs : Super-héros, Dominique A : Toute latitude, un CD-DVD de Michèle Bernard : Scène & canapé, pour ne citer que ceux que j’ai écoutés, et des dizaines d’autres à découvrir. Qui dit que la chanson française se porte mal ?
Et est-ce-que C‘était mieux maintenant ? Pour Jules qui se la joue nostalgique du quatrième album des Satellites intitulé 4, c’était bien avant, aussi … 25 ans déjà, et il se referait bien un concert avec eux dans son jardin.
Un grand dossier de 17 pages est consacré à Zaza Fournier, entretien avec David Desreumaux, Née d’une mère hollandaise et d’un père marseillais, elle regrette Paris d’où elle est partie à l’âge de 10 ans, pour vivre une adolescence morose dans un petit village de l’Oise, où ses refuges sont la littérature et la musique, puis c’est la révélation, avec un 20/20 pour un passage du Cid récité au lycée, elle prend au sérieux son désir de théâtre, et s’inscrit au Cours Florent, puis vient à la chanson par amour, faut dire qu’elle s’était entraînée, à 12 ans, enfermée dans sa chambre, à chanter tout Piaf avec pour seul micro sa brosse à cheveux ! C’est un garçon qui m’a fait chanter pour de vrai la première fois. C’est par amour. Ce garçon, c’est Jack Lahana, aujourd’hui son compagnon, et réalisateur de ses deux premiers albums. La chanson par la scène précise t-elle : Avec la scène, j’ai l’impression d’être en état de recherche permanent.
A la question qui vient comme ça, au cours de l’entretien : Si tu te demandes si tu seras encore chanteuse à 60 ans , elle a une jolie réponse : Tu sais, c’est comme les gosses qui courent au bord de la falaise et qui n’ont pas peur. Tout à coup tu grandis, tu vieillis, et tu as le vertige.
Le regard extérieur sur Zaza Fournier, c’est Arièle Butaux, musicienne, écrivain, femme de radio.
Elle aime tout de Zaza Arièle : J’aime chez Zaza La précision du trait, la miniature parfaite, la mélodie qui va te rester dans la tête comme une bonne vieille chanson italienne. Ses chansons sont en technicolor : ça claque, ça porte, ça secoue !
Et l’on continue avec Zaza Fournier et son nouveau spectacle : Le déluge. Un spectacle théâtre / chansons qui raconte le déluge intime qui bouscule et fait surgir le sauvage qui sommeille en chacun de nous, est il possible d’être libre et ensemble à la fois ? Le déluge pose cette question : peut on être à la fois libre et ensemble, profondément soi-même et avec les autres ?
Trois filles sur scène, avec Diane Villanueva aux percussions et Juliette Serrad au violoncelle, pour un spectacle qui devrait marquer les esprits.
Pour clore le chapitre Zaza Fournier, paroles et musique de La jeune fille aux fleurs, que l’on peut aussi écouter sur Youtube, ou encore mieux sur son album Le départ : Si tu as le cœur blessé / Offre moi des fleurs séchées / Des lys ou du mimosa / Si tu rêve encoe de moi / Si tu t’en vas sans regrets / Quelques brins de serpolet…
Retour en image sur le huitième Prix Georges Moustaki, avec de superbes photos de Chantal Bou- Hanna et Frédéric Petit, les finalistes, Gatica, prix du jury, Gervaise, prix du public, Mehdi Krüger prix de la selection FestiScib, For The Hacker, lauréat de la sélection FrancoFans.
Et c’est avec Jacques Bertin que je prends un malin plaisir à décrypter ses réponses aux questions de Nicolas Brulebois. Entretien qui a lieu entre Mouffetard et Contrescarpe : quartier de pauvres, d’aventuriers et d’artistes.
Parmi ses projets, un qui lui tient à cœur, la maison de l’histoire de la chanson, un beau projet qui est aujourd’hui en bonne voie, puisqu’il semble que le ministère de la Culture ait la volonté de s’impliquer, et un projet d’album humoristique qui pourrait s’intituler : Chansons à la con, étonnant, non ? Il parle aussi de son dernier album, plus varié que les précédents, avec moins de musiciens, pour raisons économiques. Il y a un poème de Valery Larbaud que j’aime beaucoup, Voeux d’un poète :
Lorsque je serai mort depuis plusieurs années,
Et que dans le brouillard les cabs se heurteront,
Comme aujourd’hui (les choses n’étant pas changées)
Puissé-je être une main fraîche sur quelque front !
Sur le front de quelqu’un qui chantonne en voiture
Au long de Brompton Road, Marylebone ou Holborn,
Et regarde en songeant à la littérature
Les hauts monuments noirs dans l’air épais et jaune.
Oui, puissé-je être la pensée obscure et douce
Qu’on porte avec secret dans le bruit des cités,
Le repos d’un instant dans le vent qui nous pousse,
Enfants perdus parmi la foire aux vanités ;
Et qu’on mette à mes débuts dans l’éternité,
L’ornement simple, à la Toussaint, d’un peu de mousse.
(Valery Larbaud, Les Poésies d’A.O. Barnabooth, 1913).
Une autre chanson : La vague évoque le sort des migrants, que la France a du mal à gérer.
On en sait plus sur sa façon d’écrire ses chansons, et de les travailler avec sa guitare, son passé de chroniqueur à Politis, et les polémiques suscitées par certaines chroniques, son respect pour les anarchistes, qui sont dit il, respectueux et bien élevés : je les trouve humainement corrects, honnêtes, contrairement aux trotsk’s , mao, ou stals, pour qui il ne serait qu’un petit bourgeois, un salopard.
Parmi les découvertes de printemps, à noter chez EPM Musique, deux albums majeurs, Ziaco : Né en voyage et Les cyclamens de Pierre Margot qui sera en concert au Lavoir Moderne Parisien, les 1er et 2 juin.
Coffees & Cigarettes et leur Hop’n’roll fantasy n’échappent pas au regard de David Desreumaux, Renaud Druel affirme ne pas être capable d’écrire autrement qu’au travers d’images
Claire Pommet, alias Pomme, elle, est une belle promesse, selon Dora Balagny.
Elle a déjà des kilomètres de concerts au compteur, depuis ses débuts musicaux en famille, son coup de cœur pour l’autoharpe : J’aime l’esthétique de l’autoharpe, sa sonorité un peu elfique, ses classes vocales de dix ans dans une chorale, jusqu’à ses premières parties de Benjamin Biolay, Yael Naim ou La Grande Sophie, et son premier album sorti en octobre dernier. Elle sera en concert au Printemps de Bourges le 28 avril, et à La Cigale le 20 juin.
Et ce sont des Embruns de chansons nous viennent de Ronan, sous le regard de Michel Gallas. Ronan, qui, ayant fait l’expérience de plusieurs groupes, Toultoutim, avec Jules Nectar, et un album en 2011, comme accordéoniste des NotaiRes et des Maristo pour trois albums, en tant qu’ACI pour le quintette Les Vents Malins, dont il sortira un EP, crée ensuite un répertoire plus plus intimiste et personnel : il chante des histoires de la vie et de rêves enfouis dans un vocabulaire imagé et singulier, et nous transporte dans une poésie réaliste où les mots s’entrechoquent et se percutent. Volutes, son album autoproduit sorti en 2017 est chroniqué p. 64 d’Hexagone n° 4 .
Et toi tu fais quoi ? C’est le titre du premier album de Joëlle Saint-Pierre dont Flavie Girbal nous fait le portrait. Elle nous vient du Québec, c’est fou ce qu’on aime la chanson francophone là-bas ! Mais dit-elle : Je me sens extrêmement moins chanteuse que musicienne. Et comme elle ne peut pas trimbaler son marimba partout, c’est son vibraphone qui l’accompagne dans ses tournées. Le vibraphone convoque le nord magnétique et les grands espaces enneigés.
Encore une belle découverte, Phanee de Pool, la slapeuse à part, qui a rendu son arme et sa carte de policière fin 2017, pour se consacrer à la chanson, avec une immense envie de croquer la vie : Je suis une gourmande, j’ai envie de jouer partout, dans des lieux insolites…comme un poulailler… Et déjà reconnue, elle a remporté le prix du public et quatre dates de concerts au concours de La médaille d’or de Saignelégier.
Un petit tour à Lyon où il y a des lieux sans lesquels la chanson ne serait pas ce qu’elle est, et A thou Bout d’Chant est de ceux là. Avec Karine Daviet comme guide. Marc David et Frédérique Gagnol ont fait de ce lieu une place forte de la chanson, et Lucas et Matthias ont repris cette salle en 2015, avec des choix qui reflètent la diversité musicale de la chanson française et de la modernité.
Et une visite guidée de La Manufacture Chanson, société coopérative d’artistes au service de la chanson. avec David Desreumaux, et son gérant Stéphane Riva. Un lieu, des professionnels qui accompagnent, forment, conseillent, sont le lien avec de nombreux partenaires, festivals, actions artistiques auprès de différents publics et différents lieux, leur objectif : permettre aux artistes de transmettre et de partager leur passion de la chanson.

Photo DR.
Et si nous allions rendre visite à Serge Rezvani, en plein cœur de Pigalle où il vit avec sa compagne depuis quinze ans, l’actrice Marie-José Nat ? C’est David Desreumaux et Flavie Girbal qui nous y invitent. Peintre, graveur, écrivain ( plus de 40 romans, 15 pièces de théâtre, et deux recueils de poésie), et auteur-compositeur-interprète de chansons, auteur de la célèbre chanson du film Jules et Jim chantée par Jeanne Moreau : Le tourbillon de la vie. Alors, touche-à-tout ? Non, dit-il : Tout me touche, ne pas se répéter, faire toujours la même chose, même si ça va à l’encontre du marché : je suis curieux de ce que je ne sais pas, je dis souvent que j’ai plusieurs arcs à ma flèche, je dirais que c’est toujours la recherche de ce que je ne sais pas en moi et en nous tous, parce qu’on finit toujours par être des portes-parole.
Pour finir en râlant, le Rosbif saignant de Mad, qui raconte les péripéties de son concert, avec Monique, sortie conseillée par Hexagone : On m’y reprendra à suivre Monique dans ses sorties conseillées par Hexagone. Pour voir des voleurs de poule de cet acabit, ce sera sans moi ! Je n’en dirai pas plus, sinon que les voleurs de poule sont Sanseverino et ses musiciens ! Voir l’article de Mad p 48.
Voilà un petit aperçu de tout ce que vous pourrez découvrir en long et en large dans ce numéro de printemps d’Hexagone , sans oublier deux festivals importants dans les semaines à venir, Festiv’en marche du 17 au 21 mai à Mouhet ( 36), avec Rémo Gary, Melissmel, Bernard Joyet, Boule, Eric Mie, Lucie Manusset, Zoé Malouvet, Les frères Scopitone. Et L’air du temps aux Bains-Douches de Lignère-en-Berry, avec Sandra Nkaké, Anne Sylvestre, Sanseverino, Loïc Lantoine, Magyd Cherfi, Frédéric Fromet, Babx.
Bel été en musique et en chansons, d’écoutes en lectures, de bars en bistrots, de scènes en scènes, de festival en festival !
Pour savoir ce qu’il en est du super mook Hexagone et l’avoir chez vous, demandez à Flavie,
et elle vous répondra, c’est une fille bien élevée –> 
Pour la web radio Hexagone, c’est là ->
Danièle Sala
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