Depuis une certaine soirée télévisée , les détracteurs de Guy Béart se gargarisent des éléments de langage gainsbarriens, sur l’art mineur et les blaireaux. Et le plus souvent leur connaissance de l’œuvre de Béart commence et s’arrête à L’eau vive, ça reviendrait à réduire Brassens à La cane de Jeanne. Ou Leny Escudero à Pour une amourette…
Guy Béart est une sorte de chroniqueur du temps qui passe, et un mélodiste de talent, assez proche de Moustaki et pour les amis de la guitare, il y a de quoi se régaler.
Quelques exemples de chansons qui sont un peu plus que de l’art mineur.
La chabraque 1970 (Marcel Aymé/G Béart)
Les tristes noces
En marchant
Chanson pour ma vieille
C’est après que ça se passe…
Où est la fenêtre …
Couleurs vous êtes des larmes
Pierrot la tendresse
Et clin d’oeil à Juliette qui a beaucoup chanté Béart
(Texte Raymond Queneau Musique G Béart )
Et on peut noter qu’il n’est pas rancunier, c’est ça la classe !
Et la plus belle déclaration d’amour, universelle, transgenre, parfaite !
Pour rappel, lire –> Béart, Ferré, Brassens, Gainsbourg, tous des ratés des arts majeurs…
Norbert Gabriel
Un livre essentiel pour comprendre Béart , clic sur l’image–>
Petite précision : les paroles de « La Chabraque » sont de Marcel Aymé.
J’aimeJ’aime
Tant pis pour les sectaires, mais pour ceux qui doutent :
https://www.editionsbdl.com/produit/guy-beart-revolutionnaire-ou-prophete/
J’aimeJ’aime