Ou comment la lumière sublime la musique…
Il y a un peu plus de 2 ans, La vie en vrac tenait la scène au Théâtre de la Contrescarpe, l’éloge enthousiaste ci-dessous reste d’actualité, mais après avoir occupé des scènes de toutes dimensions, c’est au théâtre Antoine Vitez que ce spectacle passe à une dimension supérieure grâce à un travail sur la lumière d’une qualité rare, Véronique Chanard bravo ! On peut rappeler ce que disait un maître des lumières à son élève: « Eclaire bien les artistes que j’entende bien les paroles. » Annick Cisaruk et David Venitucci sont très bien mis en lumière, c’est parfait.
3 Mars 2016 au Théâtre de la Contrescarpe.
Annick Cisaruk a trouvé son Mac Orlan, c’est Yanowski. Yanowski a trouvé le Stradivarius qui lui permet d’élargir sa palette à cette vie de femme-flamme qui mord la vie à pleine bouche, et la chante à pleine voix, c’est Annick Cisaruk. Et ils ont trouvé le musicien pour composer cette rhapsodie baroque et sauvage, David Venitucci, tiercé gagnant.
C’est une Carmen des steppes qui a décidé, jeune fille, de suivre la route bohémienne, le chemin des saltimbanques, des oiseaux de passage, les migrateurs éternels avides d’autres horizons. Au risque de se brûler les ailes, au risque de cramer sa vie dans des voyages imprudents. Mais flamboyants. (Suite ICI)
Il y a deux ans quelques images tentaient de donner une idée de cette fresque picaresque,
C’est ce samedi à 20 h et le week end prochain qu’il faut aller toutes affaires cessantes au Théâtre Antoine Vitez..
C’est ici pour réserver clic sur le rideau —>
Norbert Gabriel
Et dans tout ça, on ne sait toujours pas ce qu’il y a dans le grenier de l’auberge… Quel suspense .. 😉
J’aimeJ’aime