Mercredi 26 Octobre, une soirée à France Inter,
C’est comme un air de Pop Club qui revient mais dans un format 100% chanson… Les plus anciens des radioteurs assidus évoquent aussi Studio de nuit, ou Saltimbanques, c’est tout ça à la fois. Une soirée qu’on peut dire entre amis, dont certains ne se connaissent pas encore, on discute, on se présente, on parle métier, on partage aussi quelques bouteilles et nourritures dans le coin buffet du studio, et dans le coin studio de radio, Didier Varrod reçoit les invités… Des très connus, Juliette, Arielle Dombasle, d’autres moins, qui font leur première radio nationale, comme Barbagallo, repéré sur le web, ou Maud Geffray … On débute l’émission avec le générique chanté en direct, et on découvre… Entre autres, une jolie histoire de guitare, celle qui est là —>
Ce vendredi, j’étais dans la radio, histoire de vérifier si ce que je vois est comme ce que j’entends quand je suis devant le poste. Parfois, quand je suis devant le poste je savoure, j’applaudis (si-si) je ronchonne -aussi- la vie, quoi !
Petit scoop image de ce que vous ne voyez pas dans le poste les dessins…Sur la table ronde des invités passés ont laissé une trace sur les sets, un exemple ? Voilà, Le Bataclan, et aussi celui-ci, vous l’avez reconnu avec son chat? Celui du rabbin…
Ce vendredi, j’aurais eu quelques raisons de ronchonner, parce que Nicolas Ker… comment dire ? Imaginez une boule de flipper qui part dans tous les sens, et qui devient incontrôlable… Vous y êtes. Sauf que globalement, le chef d’orchestre a réussi à maîtriser l’énergumène. Qui a des avis sur tout, souvent pertinents, mais bon, trop de Ker, c’est du brouillage. L’exfiltration en douceur s’est imposée.
Tout ça donne une émission très vivante, rock’n’roll borderline par moments, heureusement, Juliette, et sa fantaisie rieuse a mis un peu de calme dans le barnum…
En fait, c’est assez proche de l’ambiance du cirque, tout semble partir dans tous les sens, mais au final on a un spectacle passionnant. Du vrai spectacle vivant. Du funambulisme sans filet, et le spectacle continue.
Et par les temps qui courent où tout est formaté et policé, voire aseptisé, c’est rafraichissant. On y a disserté devant le micro de la vie d’artiste et ses fluctuations, on a discuté verre à main des choses de la vie, les artistes présents se sont découverts, un duo presque improvisé entre Juliette et Vincent Dedienne, plus quelques autres moments à réentendre , parce que la radio, c’est mieux de l’écouter que d’en lire le compte rendu, c’est ici, ouvrez le micro :
Norbert Gabriel
La prochaine fois vous m’emmenez (je plaisante)! C’est mon rêve d’assister à ce genre d’émission et je suis une assidue de France Inter. Belle journée à vous.
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